Le RAPLIQ n’a pas testé que des bus à “rampe arrière”, bien au contraire. Nous avons produit un rapport et chaque incident est documenté et étayé. De plus, les tests ont eu lieu dans plusieurs arrondissements tels que Ahuntsic, Plateau-Mont-Royal, St-Léonard, Rivière-des-Prairies, Villeray, Côte-des-Neiges, Outremont, Mont-Royal, pour plus de fiabilité.En, gros, ils ont pris 67 autobus, sur cela, il y en avait 22 où la rampe ne marchait pas. Em dans 42, ça été dificille d'embarquer.
Ce que j'en pense.... Bof ! Sur leur résultats, il faudrait voir leur métho ; ratio 29-000 vs les autres, dans quels secteurs ils étaient, etc.
En plus, le RAPLIQ consigne les événements où des utilisateurs n’ont pas pu monter à bord d’un autobus, hors de la journée du 22 août. Nous sommes rendus à plus d’une soixantaine d’incidents.
D’un point de vue personnel, je prends le bus à plancher bas régulièrement et les résultats obtenus le 22 août concordent complètement avec mon expérience personnelle.
Le RAPLIQ n’a jamais demandé le retrait des bus pré-29-000. Cette information est fausse. Il arrive malheureusement souvent que les médias rapportent mal les informations. Le RAPLIQ demande toutefois un entretien systématique des rampes d’autobus tant arrière qu’avant, tout comme les autres composantes du véhicule sont entretenues. Vous pouvez lire nos recommandations dans notre rapport.En fait, si on lis entre les lignes le discours du RAPLIQ (ceux qui ont fait l'action hier), la STM devrait retirer les bus avant les 29-000 !!! Acheter des nouveau bus !!! Ben oui, ça coûte combien un bus ??? Pas vraiment réaliste...
Tout a fait, si la rampe ne fonctionne pas, on envoie le bus en réparation, puisqu’il ne peut pas effectuer correctement son service. Tout comme un moteur dysfonctionnel, une porte brisée, un klaxon non-fonctionnel, etc. Maintenir le bus en circulation équivaut à dire que les personnes nécessitant l’utilisation de la rampe ne font pas partie de la clientèle!Essai de la rampe avant le départ ? Dans l'idéal oui... Mais comme vous dites, pratiquement c'est difficille... Pis que fait-on si elle ne fonctionne pas ? On retire le bus ?
La société de transport de Londres a cette politique. Les rampes sont vérifiées à chaque matin.
Nous comprenons que la flotte puisse être limitée. C’est pourquoi le RAPLIQ a recommandé que les bus soient équipés de rampes portatives afin que les utilisateurs nécessitant la rampe du bus puissent tout de même monter à bord en cas de bris! C’est également indispensable si un bris survient alors que le client est à l’intérieur du bus! Une solution aussi simple que celle-ci nous apparaît comme indispensable.La STM n'a paps(pas) de surplus de bus.
Qu’il aie son “truck” ou non, c’est pas grave. Le conseil municipal est une entité démocratique: les élus se doivent de répondre aux questions des citoyens. Si vous écoutez les extraits des conseils municipaux, disponibles en ligne sur le site de la Ville de Montréal, vous remarquerez que nous n’obtenons pour ainsi dire jamais réponse à nos questions, et c’est pourquoi nous redemandons. Vous noterez également que nous ne posons jamais la même question deux fois, mais bien des questions différentes sur le même thème ou avec des éléments/faits nouveaux. Ces questions n’obtiennent d’ailleurs pour ainsi dire jamais de réponses. C’est Marvin Rotrand qui donne toujours les mêmes réponses, qui souvent n'ont pas de lien avec la question.Salir la STM... Oh oui mais dans le fond le RAPLIQ est un groupe de pression et ils doivent être habitués à prendre ça avec un grain de sel. Quoique le RAPLIQ est bien plus rock n' roll que les autress organismes de personnes handicapées. Marvin Rotran (Respp. transport comité exécutif V de M) doit avoir son truck d'eux. À chaque conseil municipal ils vont poser les mêmes questions !
Notre but n’était pas d’embêter les CO. Tout comme notre but n’est pas de nous en prendre à des individus, mais bien de démontrer les lacunes d’un système déficient. Un système public, qui appartient à tous. Les actions menées par le RAPLIQ constituent une critique par les usagers constructive avec pour but d’améliorer les services pour tous, le tout dans une perspective d’élimination de la discrimination et des barrières.Lundi les CO ne devaient pas les trouver ben benj drôle...
Sur ce dernier point, vous avez raison; cependant, il arrive bien souvent qu’il soit impossible de prévoir l’heure d’un retour ou que les plans changent. Moi et plusieurs autre usagers du TA pouvons nous remémorer maintes fois où nous nous sommes retrouvés coincés dans un horaire pré-établi sans possibilité de modification, que ce soit au travail, aux études, dans des activités sociales, etc.Pas sûr qu'une solution "call and go" soit envisageable... Cela coûterait bien trop chère et je pense que que serait trop merdique à gèrer. Je le dis souvent et c'est plate le TA est un transport publique et énivitablement il y a des restrictions.
Déjà avec la politique "zéro refus" si tu appelle la veille, tu es sûr d'avoir un transport.
À savoir qu’un service “call-and-go” soit trop difficile à gérer et coûterait trop cher, je me demande sur quels faits vous vous basez. Opinion personnelle: la technologie a bien évolué et je crois que cela pourrait être envisageable.
Non seulement la STM n’a pas pensé à les rendre accessible mais encore pire, a délibérément condamné les haillons des minibus (anciens minibus du TA) sous prétexte que les chauffeurs “n’avaient pas la formation requise”. Cela m’a été confirmé personnellement par des chauffeurs du TA.Ça s'appelle notamment les navettes d'or mais oh malheur la STM n'ont jamais pensé de les rendre accessible. Pourtant, ils ont une politique d'accessibilité universelle.